Tu ne sais pas encore qui est Labubu ? T’inquiète, tu vas tomber dedans comme tout le monde. Et il sera déjà trop tard.
Parce qu’il ne s’agit pas seulement d’une peluche ou d’une figurine design. Labubu, c’est une vibe. Une apparition mystique. Un petit monstre venu d’ailleurs avec une bouille si singulière qu’on dirait qu’il a surgi d’un rêve un peu flippant… mais beaucoup trop mignon pour qu’on lui en veuille.
🌟 Un design à part, une aura à part
Mi-elfe, mi-renard, mi-démon moqueur (oui, ça fait trois “mi”, mais Labubu est tout sauf rationnel), il se distingue par son expression toujours entre la tendresse et la ruse. Les yeux malicieux, les oreilles dressées, les dents en éventail… c’est le genre de regard qui te suit même quand t’éteins la lumière.
Créé par Kasing Lung, illustrateur hongkongais, et propulsé par le label POP MART, avec la boutique Labubu en France, et la Labubu qui fait partie de la série des “Monsters”. Mais c’est clairement celui qui a piqué la vedette à tout le monde. Depuis quelques mois, il envahit les timelines, les dressings, les bureaux, les vitrines… Bref, il est partout.
Pourquoi on devient accro ?
Parce que Labubu, c’est un caméléon émotionnel. Chaque série raconte une nouvelle histoire. Sweet Monster, Elf of the Forest, Space Travel, Dreamy Star… autant de facettes d’un même personnage qui s’adapte à ton mood du moment.
- Besoin de douceur ? Prends celui avec une écharpe et une boule à neige.
- Besoin de rigoler ? Il y a le Labubu avec les oreilles tordues et une grenouille en guise de sac.
- Besoin de mystère ? Il y a le noir, celui qu’on dirait tout droit sorti d’un conte sombre japonais.
“Je pensais en prendre un pour offrir, j’en ai commandé trois. Un pour mon salon, un pour mon bureau, et un qui ne sortira jamais de sa boîte.”
Le virus Labubu a contaminé la France
Il y a encore peu, seuls quelques collectionneurs initiés connaissaient son nom. Mais aujourd’hui, Labubu s’affiche fièrement sur les étagères d’influenceurs, dans les stories d’artistes, dans les listes de cadeaux cool. Il est devenu un symbole de goûts pointus, de ceux qui ne veulent ni d’une figurine trop mainstream ni d’un doudou trop classique.
Dans les appart’ parisiens, les studios marseillais, les chambres d’ados comme les bureaux de trentenaires branchés, Labubu trône. Et il observe. Toujours.
L’objet qui réconcilie l’enfant et l’adulte en toi
On a tous ce petit truc en nous : le besoin de rêver, d’avoir un compagnon imaginaire, de redonner du sens aux objets. Labubu vient combler ce vide créatif. Il n’est ni une peluche comme les autres, ni une figurine pour enfant. Il est à la croisière des chemins : celui du design, de la narration, et de l’attachement irrationnel.
Tu veux l’afficher. Tu veux le chouchouter. Tu veux le prendre en photo. Tu veux le garder pour toi.
Et c’est exactement pour ça qu’on l’aime.
En conclusion : tu ne l’avais pas vu venir, hein ?
Labubu n’a pas fait de bruit. Il est arrivé en douce, dans un monde saturé d’objets, et il a réussi l’exploit : être différent. Être drôle sans être ridicule. Être mignon sans être cucul. Être artistique sans prétention.
Alors maintenant, fais gaffe. Parce qu’une fois que tu en vois un… tu veux le toucher. Une fois que tu le touches… tu veux le garder. Et une fois que tu le gardes…
… tu veux la collection entière.
(Et oui, on t’avait prévenu.)